Le leader était en quelque sorte rené de sa rencontre avec les Aliènes. Qui ne l'aurait pas été ? Et sa foi était restée intacte. Il avait secrètement peur que soit révélée l'existence de ses amis, peur que les gens se méprennent en ne voyant pas les choses aussi simple que lui. Il éprouvait donc un sentiment ambivalent envers eux.
Comme beaucoup de personnes à l'aspect rude, difficiles d'accès, il avait besoin de se faire aimer. Ce n'était pas un leader naturel. Ses amis l'avait bien cerné et l'avait choisi pour cette faiblesse dans son portrait de leader. L'homme avait la faiblesse de vouloir être aimé. Non pas aimé comme personne, ça ! ça n'avait jamais été son truc ; mais aimé comme chef rassembleur dans le consensus.
Il était la personne à qui les Aliènes avaient décidé d'assigner leurs tâches. Il était si heureux de le faire et de voir dans leurs yeux (sic) les félicitations pour le travail bien accompli. Le pays avait échappé à des personnalités au caractère trop marqué.
Les Aliènes n'avaient jamais envisagé de prendre les leaders du parti. Les uns, trop obsessionnels, gestionnaires tatillons : ils mettaient leur nez partout.
Les autres, narcissiques, avaient trop de visions et trop de mépris pour tout un chacun jugé imbécile ; ils mettaient leur nez partout aussi, à tout contrôler, paranoïaques, prêts à établir un régime totalitaire très efficace. Ils se prenaient pour des visionnaires pour "changer le monde".
Comme beaucoup de personnes à l'aspect rude, difficiles d'accès, il avait besoin de se faire aimer. Ce n'était pas un leader naturel. Ses amis l'avait bien cerné et l'avait choisi pour cette faiblesse dans son portrait de leader. L'homme avait la faiblesse de vouloir être aimé. Non pas aimé comme personne, ça ! ça n'avait jamais été son truc ; mais aimé comme chef rassembleur dans le consensus.
Il était la personne à qui les Aliènes avaient décidé d'assigner leurs tâches. Il était si heureux de le faire et de voir dans leurs yeux (sic) les félicitations pour le travail bien accompli. Le pays avait échappé à des personnalités au caractère trop marqué.
Les Aliènes n'avaient jamais envisagé de prendre les leaders du parti. Les uns, trop obsessionnels, gestionnaires tatillons : ils mettaient leur nez partout.
Les autres, narcissiques, avaient trop de visions et trop de mépris pour tout un chacun jugé imbécile ; ils mettaient leur nez partout aussi, à tout contrôler, paranoïaques, prêts à établir un régime totalitaire très efficace. Ils se prenaient pour des visionnaires pour "changer le monde".
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